Inspirée de la tradition du « Kami soap » japonais, cette fine cellulose saponifiée se dissout au contact de l’eau sur les mains qu’elle laisse propres et parfumées.
Des mains propres et nettes sont un gage de santé et de charme. La qualité des savons utilisés dans les toilettes publiques, les aéroports, les hôtels, les trains, est très inégale, voire tout à fait médiocre. On s’y gâte les mains et l’humeur : détergents asséchants, odeurs approximatives ou franchement désagréables…
Pour les mains délicates en transit, l’Officine universelle Buly réinvente le savon de voyage sous la forme d’une feuille de savon, inspirée de la tradition du « Kami soap » japonais.
Cette finissime feuille de cellulose saponifiée, qui se glisse dans le plus soir des sacs à main ou entre les pages d’un livre, se dissout au contact de l’eau sur les mains qu’elle laisse propres et délicieusement parfumées.
Le baiser amer de la piqûre de l’amande court sur la peau nue frottée d’ambre. Comme un mercure, le venin fige les vaisseaux et le regard de la fillette, déjà de marbre. Le cœur se glace, comme gèle la fleur d’eau.
Cette finissime feuille de cellulose saponifiée, qui se glisse dans le plus soir des sacs à main ou entre les pages d’un livre, se dissout au contact de l’eau sur les mains qu’elle laisse propres et délicieusement parfumées.
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